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MUSIQUES DIVERSES - Page 5

  • TOUS ENSEMBLE POUR OBAMA

    Great American Sassafras Obama Bar (Obama Soap) Pictures, Images and Photos

  • QUE NOUS RESERVE BUSH......

     

    QUE NOUS RESERVE.......... BUSH......

     

     

     

    POUR CES DERNIERS JOURS AU POUVOIR ????????

     

     

    ICI ce n'est plus le soupçon d'armes massives!!!!! c'est quoi alors??????

    Pourquoi donner le pouvoir à un homme......pour détruire l'autre........

     

    quel que soit le pourquoi ou le comment ...la vie de Huit personnes peut-elle

    être qualifiée "d'incident"?????  NONNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNN

     

     

     

     

     

     

     

    Un responsable américain a confirmé lundi que le raid héliporté contre un village syrien dimanche avait été mené par les Etats-Unis et a assuré sous le couvert de l'anonymat qu'il s'agissait d'un "succès" dans la lutte contre les combattants étrangers opérant en Irak.
     
     La porte-parole de la Maison Blanche Dana Perino, interrogée par courriel avait auparavant décliné tout commentaire sur l'incident. La coalition internationale en Irak, menée par l'armée américaine, avait indiqué également n'avoir "tout simplement aucune information sur l'incident" en Syrie. Le gouvernement irakien a indiqué pour sa part que "l'endroit (où a été mené le raid) était le théâtre d'activités d'organisations anti-irakiennes se servant de la Syrie comme base-arrière pour des opérations en Irak".

    "Agression terroriste"
     
    Les médias officiels syriens avaient rapporté dimanche une attaque de soldats américains débarqués d'hélicoptères venant d'Irak contre un bâtiment d'un village syrien, à huit kilomètres de la frontière, qui aurait fait huit morts. L'armée américaine, depuis l'invasion de 2003, a mené plusieurs opérations contre des combattants étrangers, notamment arabes, qui s'infiltrent à partir du poste frontalier irakien d'Al-Qaëm, juste en face de la frontière syrienne.

    Peu après cette confirmation non-officielle de la part d'un responsable américain, le ministre syrien des Affaires étrangères Walid Mouallem a accusé les Etats-Unis d'avoir commis une "agression terroriste" en effectuant son raid héliporté. Lundi matin, alors qu'aucune confirmation n'avait été donnée, la Ligue arabe avait condamné dans un communiqué l'opération héliportée menée la veille.

     

     

     

     

     

     

  • LA COURSE CONTRE LA MONTRE A COMMENCE!!!!!

  • L'AFRIQUE REPOND A SARKOZY....

     

     

     

    18 rue Joseph II

     B 1000 Bruxelles

    Tél. 32 2 217 90 71

     Fax 32 2 217 84 02

    http://www.cec-ong.org

    e-mail : info@cec-ong.org

    « L’Afrique répond à Sarkozy – Contre le discours de Dakar » *

    Quand les stéréotypes ont la vie dure…

    Le 26 juillet 2007, à l'Université Cheik Anta Diop de Dakar, le président Nicolas Sarkozy,

    fraîchement élu à la tête de l'Etat français, prononce un discours qui se voulait

    "historique et franc" face à la jeunesse africaine. En fait de franchise, ses propos

    remettent à l'ordre du jour un mépris et des stéréotypes qu'on croyait appartenir à une

    époque révolue.

    L'indignation que ce discours a suscitée en Afrique n'est pas près de s'estomper. Une

    vingtaine d'intellectuels mobilisés par l’homme de lettres et diplomate Sénégalais Makhily

    Gassama ont tenté de lui répondre dans le collectif

     L'Afrique répond à Sarkozy.

    Contre le discours de Dakar , paru récemment aux Editions Philippe Rey.

    Reste que les approximations historiques de Nicolas Sarkozy sont loin d'être

    circonstancielles. Elles prennent place dans un mouvement intellectuel occidental récent,

    que l'on pourrait qualifier de "retour des idéologies coloniales", face aux impasses

    politique et économique qui minent le continent africain aujourd'hui. Et cela, au moment

    même où la production intellectuelle africaine sur l'histoire, la culture et la pensée de ce

    continent est plus abondante qu’elle ne l’a jamais été !

    Mais pourquoi cette production n'arrive-t-elle pas à dépasser le cap de quelques cercles

    intellectuels, en Afrique comme en Europe ? Pourquoi les voies suggérées par ces

    intellectuels ne sont-elles pas prises en considération dans la recherche de solutions aux

    multiples difficultés qui accablent le continent ? Pourquoi le "rendez-vous universel du

    donner et du recevoir", que le poète Léopold Sédar Senghor appelait de tous ses voeux,

    est-il toujours postposé ? Bref, quelle est la place que l’Afrique revendique dans la mise

    en action de solutions face aux difficultés qu'elle connaît ?

    L'enjeu est de taille, car il y va de l’avenir de tout un continent. Tels sont les termes du

    débat que nous vous proposons, avec le concours de nos invités Makhily Gassama et

    Patrice Nganang **.

    Rencontre organisée par le Commissariat Général aux Relations Internationales de la

    Communauté Wallonie-Bruxelles et l’Ong Coopération par l’Education et la Culture (CEC),

    le jeudi 13 novembre 2008

    , de 12h à 14h au CGRI, place Sainctelette, 2 à 1080

    Bruxelles (inscription indispensable avant le 7 novembre - 02/421.86.28 ou

    s.depaepe@cgri.cfwb.be).

    Information: CEC - 02/217.90.71 – info@cec-ong.org - http://www.cec-ong.org

    Avec le soutien de :

    * Aux Editions Philippe Rey, Paris, 2008 – réponse de 23 intellectuels africains au discours prononcé par le Président français à

    l’Université Cheik Anta Diop, le 26 juillet 2007.

    **

     

     

    Makhily Gassama

    est professeur de lettres. Il a été conseiller culturel auprès du Président Léopold Sédar Senghor et

    Ministre de la Culture du Sénégal. Il a occupé diverses fonctions diplomatiques, a dirigé la revue

     

     

    Ethiopiques

    et a publié

    diverses études en littératures africaines.

     

     

    Patrice Nganang

    enseigne la théorie littéraire à l’Université d’Etat de New York,

    Stony Brook. Ecrivain, il a, entre autres, publié « Temps de chien » (Prix Marguerite Yourcenar - Grand Prix de la littérature

    d’Afrique noire) et

     

     

    Manifeste d’une nouvelle littérature africaine. Pour une écriture préemptive

    (Homnisphères, 2007).

  • IN MEMORY..............

    bougie Pictures, Images and Photos Soeur Emmanuelle reposez en Paix... et restez un exemple pour l'Humanité... Force courage et détermination... Yallah ou Yalla Ma Soeur sur le chemin Sacré..................

  • YALLAH SOEUR EMMANUELLE !!! MERCI D'UN SI BEAU PARCOURS....

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    Soeur Emmanuelle nous a quittés

     

    Sœur Emmanuelle, qui avait dédié sa vie aux plus pauvres, aux sans-papiers et à ceux qui avaient besoin de soutien ...notamment au Caire, est décédée lundi à l'âge de 99 ans, a indiqué dans un communiqué Trao Nguyen, président d'Asmae-Association Soeur Emmanuelle.

     

    Elle était la Sœur déterminée, battante et motivée pour les autres

     

    Ce qui lui valu la chanson de Calogero qui lui rendit hommage avec sa chanson « YALLAH »....

     

     

     

    Yallah, soeur Emmanuelle

     

    L'amie des pauvres et des sans-voix aurait fêté ses 100 ans cette année.

     

     

     

     

     

     

     

    christian laporte et jean-claude matgen (article réçent repris dans la presse)

    Ce jeudi soir, c'est un peu toute la Belgique qui rendra hommage à Soeur Emmanuelle à un peu moins de neuf mois de son centième anniversaire.

    Elle a bien voulu accorder un entretien à "La Libre" par téléphone depuis Callian, dans le Midi de la France, où elle vit désormais parmi des religieuses à la retraite.

    A noter que ce sont les Soeurs de Notre-Dame de Sion qui tiennent à préserver la santé de leur plus illustre représentante car la connaissant, elle n'aurait pas refusé de nous recevoir chez elle!

    Vous vous approchez lentement mais sûrement de votre centenaire; pour vous, est-ce un cadeau de la Providence d'avoir pu vivre tout ce que vous avez vécu?

    Je suis en tout cas comblée de tout ce qui m'a été permis de vivre. Même si les bonheurs terrestres peuvent parfois être des miels amers.

    J'en ai fait l'expérience très jeune, à l'âge de six ans, en perdant mon père. Il avait décidé de braver la mer du nord, à Ostende, mais une vague démontée l'avait emmené au loin. Le bonheur était devenu amertume mais la douleur de la mort de mon père a ensuite coloré ma vie.

    J'ai découvert les joies simples de la vie et les ai goûtées dans la plénitude de l'instant. Et maintenant c'est le moment de dire: viens à moi, mon Dieu!

    Pour moi, le dépouillement a toujours été un enrichissement. Quand on est dépouillé, on va à l'essentiel, c'est-à-dire à l'amour, au Dieu qui est amour.

    Et quand on met beaucoup de force dans cet amour et qu'on abandonne le futile, l'accessoire, les détails, la vie devient comme du champagne!

    Pour quelqu'un qui a énormément agi sur le terrain et qui est allé à la rencontre de tant de générations, votre retraite n'est-elle pas comme une punition?

    Je ne peux plus marcher mais la tête est encore très bonne, hein!

    C'est vrai que pendant des décennies, j'ai vécu la relation à Dieu de manière très incarnée puisque j'avais beaucoup de relations avec mes frères et soeurs, chrétiens mais aussi musulmans ou en quête ou non d'une transcendance.

    Maintenant que je ne peux plus agir physiquement sur le terrain, je vis plus que jamais avec la prière. Comme je l'ai dit dans un livre récent, la prière est devenue mon job à plein temps.

    Une sorte de contact permanent avec le Christ, notamment à travers l'Evangile?

    De toute évidence, le Christ est ma source de jouvence et les textes de l'Evangile sont autant de fleuves d'eau vive qui irriguent mon existence.

    Là où, jadis, je me levais à cinq heures du matin dans les bidonvilles du Caire pour assister à la messe et recevoir l'eucharistie, je dédie aujourd'hui mes souffrances aux souffrances du Christ. Je suis donc encore plus proche de l'humanité qui souffre et en même temps, je reste un canal de l'amour de Dieu.

    Mon grand âge me permet de vivre toujours dans la joie. J'ai envie de dire: Yallah, en avant, parce que dans la vie il faut continuer à s'acharner pour apporter de la joie à autrui, même si je sens que je me dirige vers l'apothéose.

    En un siècle de présence terrestre, vous avez vu changer la planète. Quel est votre diagnostic sur son état actuel?

    Le monde est incontestablement plus dur que celui d'hier, que celui de mon enfance même si on a connu très vite les affres de deux guerres mondiales.

    Mais en même temps, s'il devient de plus en plus difficile de survivre, je constate quand même qu'il y a plus de dialogues entre les hommes, qu'il y a une noria d'organisations non gouvernementales qui n'existaient pas quand j'avais 20 ans.

    Puis, il y a aussi, je pense, bien plus de don de soi que de notre temps. Les jeunes s'investissent pour les malades, pour les plus démunis, pour ceux qui sont isolés et solitaires. Je trouve cela vraiment très passionnant. Si j'ai pu y apporter une toute petite pierre, j'en suis comblée de joie...

    Vous avez toujours eu de bons contacts avec notre corporation, avec les journalistes...

    Oui, parce que je me suis rendu compte que vous aviez un rôle à jouer. Ensemble, il a été possible de déplacer des montagnes...

    Il y a une vingtaine d'années, vous avez d'ailleurs mené un projet en commun avec "La Libre Belgique". Cela reste un bon souvenir?

    Oui! Car grâce à l'appui de "La Libre Belgique", on avait pu offrir un magnifique terrain et un environnement sportif pour égayer l'existence de la population des bidonvilles.

    La collaboration avec l'Université catholique de Louvain avait aussi été un grand moment. Moins pour nous que pour les chiffonniers et pour les scouts qui ont pu y développer bien des actions.

    Je puis vous dire que cela continue toujours car je reçois encore régulièrement des nouvelles du Caire et notamment de Soeur Sarah qui m'y a succédé. Une maîtresse femme que celle-là puisqu'elle a encore élargi l'offre scolaire avec des lycées pour les jeunes filles.

    Aujourd'hui, les relations entre catholiques et musulmans sont parfois difficiles. Vous avez montré sur le terrain, un terrain parfois difficile, que la coexistence était possible...

    Je peux dire que j'ai des milliers d'amis musulmans. Je n'ai jamais eu de problèmes avec eux. Bon, c'est vrai qu'avec certains d'entre eux, nous ne parlions pas de religion mais avec d'autres, il y a eu bien des convergences autour d'une transcendance commune...

    On vous souhaite bien entendu de vivre encore des années parmi nous mais vous avez dit que le jour de votre mort serait le plus beau de votre vie...

    Mais c'est tout naturel, je me prépare à la grande rencontre avec le Seigneur. En voyant la mort tous les jours un peu plus proche, je pense à l'enfant qui s'apprête à se jeter dans les bras de son père. Ce sera une grande rencontre filiale avec le Seigneur. Une bonne façon de s'y préparer est de réciter le rosaire. Cela me permet d'imaginer tous les mystères de la vie du Christ et aussi ceux de la Vierge Marie tout en étant en liaison par la prière avec les hommes et les femmes que je connais.

    Ce jeudi, la Belgique vous rendra un hommage particulier à l'Aula Magna à Louvain-la-Neuve. Que diriez-vous à ces centaines de personnes qui seront présentes?

    Que je suis très marquée par cet hommage parce que je sens que cela se fait de manière vraie et naturelle. Ce sont mes vrais amis qui ont pensé à moi et je sais que leur amour vient de Dieu...