Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

INCROYABLE MAIS VRAI !!! L'IMPENSABLE EST D'ACTUALITE!!! IL FALLAIT S'Y ATTENDRE....

e79811a74636f9373207493f5d82822e.jpg
de909218492be65742fda1755df6b44c.jpg

 

PAR LE BIAIS DE CET ARTICLE REPRIS SUR LE NET – JE VOUS COMMUNIQUE AUSSI LE BLOG DE SON OPPOSANT « KEMI SEBA » ET LES REVENDICATIONS DE CELUI-CI -   IL FAUT RECONNAITRE ET ADMETTRE QU’IL DIT DE GRANDES VERITES QUE BEAUCOUP D’AUTRES N’ONT PAS LE CRAN DE DIRE

 

– C’EST HALLUCINANT !!!!

 

AU 21ème siècle d’en arriver là !!!

 

COURAGE A TOUS LES DEFENSEURS DE L’AFRIQUE – NE DONNEZ PAS LE POISSON – MAIS PLUTOT APPRENEZ A PECHER !!! ASSEZ DE COURBER L'ECHINE - ASSEZ DE POUDRE AUX YEUX - L'AFRIQUE "NE VEUT PAS D'AIDE", ELLE VEUT SEULEMENT RECUPERER SON DÛ.......ET ETRE RECONNUE COMME LE BERCEAU D'UNE CIVILISATION MONDIALE ET D'UNE RICHESSE MONDIALE.  CAR SI LES GRANDES PUISSANCES D'AUJOURD'HUI SONT Où ELLES SONT C'EST GRÂCE AU SOL ET SOUS-SOL DE CE CONTINENT OPPRIME DEPUIS DES SIECLES !!!!

 

http://myspace.com/kemisebaofficiel

 

  Côte d'Ivoire: Sous nos yeux, l'histoire se répète ! Nicolas Sarkozy, tel l'Européen conquérant, dit aux Africains 'ce qu'ils doivent penser'   

 

   

Après avoir voyagé aux quatre coins du monde, Sarkozy a récemment décidé de s'occuper de l'Afrique.

Séjours éclairs en Libye, au Sénégal et au Gabon. Auparavant, il avait pris soin de rayer la Côte-d'Ivoire, ancien fleuron de la francophonie, devenu aujourd'hui, pays à problèmes, épine dans la chair du colosse français - de sa feuille de route. En mettant Abidjan sur la touche, Sarkozy a voulu, dès le départ, montrer que seuls les bons élèves seraient récompensés, renvoyant ainsi les dossiers difficiles, à plus tard. Si la visite au Gabon s'est passée comme une lettre à la poste et celle de la Libye comme une bonne affaire, le voyage au Sénégal est une autre histoire.

Il était question pour le Président de donner sa vision profonde des rapports entre la France et l'Afrique, de renouveler les liens d'amitié et de fraternité. Mais Sarkozy est un homme d'action. Les choses doivent bouger et vite. Selon Jean-David Levitte, chef de la cellule diplomatique : " Il connaît tout, retient tout et vous rend le dossier avant même que l'événement traité ne soit passé ! (1)" Justement. Sarkozy est trop pressé. Son discours aux étudiants sénégalais à Dakar, le 26 juillet dernier, restera dans les annales des affaires étrangères de la France comme l'un des discours les plus mal pensés et les plus mal tournés de notre époque. Un caillou jeté dans la mare, un ballon de carnaval éclatant à la face de celui qui le tenait, un large sourire aux lèvres. Les jeunes Sénégalais ont eu droit à un survol historique sur les avantages et les inconvénients de la colonisation. Exhibant une compréhension très approximative des écrits de Léopold Sédar Senghor, de Cheikh Anta Diop et de la théorie de la "renaissance africaine", Sarkozy n'a pas pris la mesure de son auditoire. Sûr de sa suprématie, il n'a tenu aucun compte du nouveau vent qui souffle en Afrique et des rapports mouvants de la France-Afrique. En parlant d'une manière aussi condescendante, Sarkozy s'est comporté exactement comme les anciens colons qu'il était censé dénoncer : "Mais, il est vrai que jadis, les Européens sont venus en Afrique en conquérants. Ils ont dit à vos pères ce qu'ils devaient penser, ce qu'ils devaient croire, ce qu'ils devaient faire." Et voilà que sous nos yeux effarés, l'histoire se répète ! En infériorisant la jeunesse africaine, Sarkozy s'est aliéné l'élite de demain. Et croyez-moi, nous ne nous y sommes pas trompés. A travers les jeunes, c'était aux parents qu'il s'adressait aussi en tant que père incontesté de la grande famille francophone. Même s'il a voulu nous convaincre qu'il reconnaît, la "profondeur et la richesse de l'âme africaine", il n'en demeure pas moins qu'il a agi comme ceux qui croyaient "qu'ils étaient supérieurs, qu'ils étaient plus avancés, qu'ils étaient le progrès, qu'ils étaient la civilisation." Mais bien entendu, la "colonisation n'est pas responsable de toutes les difficultés actuelles de l'Afrique. Elle n'est pas responsable des guerres sanglantes que se font les Africains entre eux. Elle n'est pas responsable des génocides. Elle n'est pas responsable des dictateurs. Elle n'est pas responsable du fanatisme. Elle n'est pas responsable de la corruption, de la prévarication. Elle n'est pas responsable des gaspillages et de la pollution." Elle est responsable de quoi, alors ? Est-ce vraiment la peine de rappeler le Rwanda, Elf, les diamants de Bokassa, la Guinée Equatoriale, j'en passe et des meilleurs ?

Non, ce serait répéter ce qui est déjà connu. Et Sarkozy continua en lançant ce vibrant appel : "Mais, je suis venu vous dire que la part d'Europe qui est en vous est le fruit d'un grand péché d'orgueil de l'Occident mais que cette part d'Europe en vous n'est pas indigne. Car elle est l'appel de la liberté, de l'émancipation et de la justice et de l'égalité entre les femmes et les hommes." Et puis le cri du coeur " : Le drame de l'Afrique, c'est que l'homme africain n'est pas assez entré dans l'histoire. Le paysan africain, qui depuis des millénaires, vit avec les saisons, dont l'idéal de vie est d'être en harmonie avec la nature, ne connaît que l'éternel recommencement du temps rythmé par la répétition sans fin des mêmes gestes et des mêmes paroles.

Dans cet imaginaire où tout recommence toujours, il n'y a pas de place ni pour l'aventure humaine ni pour l'idée du progrès. Le problème de l'Afrique, c'est qu'elle vit trop le présent dans la nostalgie du paradis perdu de l'enfance." Aucun premier ministre britannique, aucun président des Etats-Unis, aucun chancelier allemand n'oserait parler ainsi. Dieu merci, la France est plus grande que son chef d'Etat..

Mais, il faut comprendre Sarkozy. Il a un problème bien particulier à résoudre : comment arrêter le flot de tous ces immigrés venant d'Afrique ? Comment faire entendre à cette jeunesse qui a la manie de vouloir quitter sa terre natale, "pas pour fuir la misère" mais parce qu'elle "veut conquérir le monde" et qu'elle a le "goût de l'aventure et du grand large", qu'il faut rester à la maison ? Après tout, si Sarkozy a été élu à la magistrature suprême, c'est en grande partie pour régler cette question. Que dire d'une telle erreur de jugement, de ton ? Que dire de ce discours totalement en marge de la réalité africaine ? Que le président français a beaucoup à apprendre pour cacher ses préjugés raciaux. Et que nous ne sommes pas encore sortis de l'auberge.

     

 

Commentaires

  • "[La colonisation] Elle est responsable de quoi, alors ?"

    Je trouve l'article intéressant mais je m'interroge: est-il judicieux pour vous d'adopter une posture victimaire? Après tout le socle le plus solide du préjugé anti-africain, c'est quand même de considérer l'Africain comme un grand enfant, irresponsable de ses actes.

    Il faut sortir de la vision binaire "C'est-la-faute-de-la-colonisation VS C'est-l'incapacité-des-Africains".

    Même chose par rapport à l'immigration. On peut jouer les bons sentiments, il n'empêche que quand la barque échoue sur les plages de Lampedusa ou des Canaries, le spectateur occidental décode cela de la façon suivante: "ces miséreux, ils vivent sur une montagne de richesses mais sont incapables de la faire fructifier".

    Je me permets donc de vous suggérer davantage de méfiance par rapport à la critique prêt-à-consommer, fabriquée dans les officines de la gauche bien-pensante (PS, Sos Racisme, etc.).

    Bonne continuation

  • Oh ! Mais il est grand temps d'éduquer ces petits blancs qui jouent encore avec les images d'Epinal.
    Lisez donc Cheikh Anta Diop et vous vous sentirez petit tout petit, c'est vous rendre service que de vous retirer ce complexe de supériorité qui risque de nuire gravement à votre santé mentale dans les années à venir.
    Le temps des colonies sera terminé lorsque nous aurons retiré tous nos culs blancs de l'Afrique noire, car effectivement les richesses sont à eux mais bizarrement se retrouvent dans nos poches et non dans les leurs !
    Et si nous parlons de dette, la notre ne sera jamais payée, elle est iremboursable. Comment payer pour les millions de morts de la traite négrière et pour les séquelles sur les descendants d'esclaves ? Et autres saloperies beaucoup plus récentes et qui ne tarderont pas à nous exploser à la figure.
    La colonisation... les bienfaits... pour nous oui !
    Je vous offre cette phrase :
    Lorsque les missionnaires sont arrivés en Afrique, ils avaient la Bible, et les indigènes, la terre. Les missionnaires ont demandé aux indigènes de tenir la Bible dans leurs mains et de fermer les yeux. Lorsque les indigènes ont rouverts leurs yeux, ils ont réalisé qu'ils avaient la Bible, et les missionnaires, la terre.
    NON ils ne pardonneront jamais, parce que ce que nous leur avons fait n'est pas pardonnable.
    Alors Cher Pierre, cessez de rêver avec Peter Pan et le lapin d'Alice car votre réveil risque d'être brutal ; lorsque vous paierez votre café ou votre chocolat au juste prix soit 10 fois plus cher et que vos papiers de blancs n'auront plus aucune valeur au pays de vos merveilles antérieures qui seront à nouveau les leurs.
    Bon courage !!!!!!!!!!
    Naféyata

  • "éduquer ces petits blancs"... vous parlez un peu comme ces grandes âmes qui parlaient d'apporter la civilisation aux "petits nègres"...

    Mais je voudrais réagir à cet autre passage, où vous écrivez:
    "Le temps des colonies sera terminé lorsque nous aurons retiré tous nos culs blancs de l'Afrique noire, car effectivement les richesses sont à eux mais bizarrement se retrouvent dans nos poches et non dans les leurs ! "

    Selon moi vous posez la question en de mauvais termes. Il ne s'agit pas de blancs et de noirs (au fait, et les Arabes?), mais d'une classe dominante qui tisse ses réseaux sur le continent africain, pour le piller à l'aide de relais locaux. Les richesses de l'Afrique ne se retrouvent pas dans les poches du prolétariat blanc, mais dans celles de la classe qui le domine.

    Le même système perdure aujourd'hui. Vous posez une entité unie - "les noirs" - là où en réalité il y a une opposition profonde entre la grande majorité de la population et une élite corrompue.

    Je crois, pour ma part, que les intérêts des populations noires sont identiques à ceux des populations blanches: le renversement de la domination capitaliste, et l'établissement de nouveaux rapports sociaux.
    L'ennemi c'est le capitalisme, et tous les discours idéologiques et moralisateurs qui désignent un autre ennemi font indirectement le jeu de la domination capitaliste.

  • "éduquer ces petits blancs"... vous parlez un peu comme ces grandes âmes qui parlaient d'apporter la civilisation aux "petits nègres"...

    Oui ! C'est désagréable n'est ce pas ????

    Je vous parle d'Afrique noire... Vous me parlez d'arabes... Dyslexie géographique ?

    Pour ce qui concerne, Monsieur, leur politique intérieure cela ne regarde qu'eux où plutôt ne regardera qu'eux lorsque nos culs blancs, je le répète, auront quitté leur continent !

    Vous parlez de capitalisme, nous n'en sommes pas là ; le capitalisme est bon pour les pays qui ne sont pas sous une influence étrangère. Parlions nous de capitalisme lors de la seconde guerre mondiale ? Expliquions nous cela aux allemands ?

    Allez, avant que vous ne m'appreniez l'Afrique je vous conseille de nouvelles lectures, les livres de Monsieur Bwemba Bong.

    A bientôt
    Naféyata

  • "Vous parlez de capitalisme, nous n'en sommes pas là ; le capitalisme est bon pour les pays qui ne sont pas sous une influence étrangère. Parlions nous de capitalisme lors de la seconde guerre mondiale ? Expliquions nous cela aux allemands ?"

    ???

    Le capitalisme, cher monsieur, présuppose "une influence étrangère", puisque sa pente naturelle est l'impérialisme. Si ce n'était pas le cas, l'Afrique ne serait pas soumise à pillage et les industries ne s'implanteraient pas à l'autre bout du monde où la main d'oeuvre est moins chère.

    Quant aux allemands, figurez-vous, il y a des gens, et ils sont nombreux, qui sont morts pour avoir refusé de participer à cette guerre, justement parce que décidée par des puissances capitalistes - et ce dans les deux camps.

    Bref. Je ne vous apprendrai pas l'Afrique, mais vous, vous ne m'apprendrez pas le capitalisme.

    Je regarderai pour les livres de Monsieur Bwemba Bong.
    Un titre en particulier à me conseiller?

  • ECOUTE PETIT HOMME !
    (là vous connaissez, Wilhelm Reich ; nous jouons dans la même cour)
    Vous pouvez me parler capitalisme autant que vous voulez mais ce blog n'est pas là pour ça, je vous parlerai Marx si vous le souhaitez sans aucune difficulté.
    J'adore les personnes comme vous qui ont certains idéaux mais qui concrètement....... s'épanchent uniquement sur internet...
    Pour ce qui concerne Bwemba Bong commencez par :
    "Quand l'Africain était l'Or Noir de l'Europe"
    D'ailleurs, tenez, une quetion : d'après vous à quoi doit t'on l'abolition de l'esclavage ? Pas à qui mais à quoi ?
    Un proverbe du peuple noir dit :
    Ecoutez pour entendre ; entendre pour comprendre !
    Et l'un de mes pairs disait aussi :
    La psychanalyse est un remède contre l'ignorance mais sans effet sur la connerie.
    Et comme l'inconscient n'a pas de sentiment, je vous salue bien bas.
    Ne m'appelez pas Monsieur ; Madame suffira...
    Naféyata

Les commentaires sont fermés.